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Château féodal de Monbadon, construit au XIVéme siècle se situe à une quarantaine de km de Bordeaux.
A l'origine, Monbadon est une tour de guet. Le village en contre-bas s'appelle alors St Martin de Bauërs.
C'est lors de la guerre de cent ans, le 24 avril 1330 qu'Edourd III, roi d'Angleterre, donne << licence >> à Indie de Monbadon de fortifier ce poste avancé de Guyenne.
Afin de surveiller les vallées de l'Isle et de la Dordogne. Une véritable place forte est alors édifié.
Une ligne de défense avec les châteaux de Malengin et de Puisseguin entre Castillon-la-Bataille et Puynormand.
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Cette édifice est une belle construction en pierre de taille. Il y avait 22 moulins sur l'Isle entre Périgueux et Libourne. Aujourd'hui plus aucun ne fonctionne, la plupart ont été rasés ou sont à l'abandon, seul le moulin du barrage à été conservé intact avec toutes ses machines.
Le moulin était menacé par un projet immobilier. La création d'un loft qui mènerait à la destruction de l'ensemble de la machinerie encore intact.
Depuis, l'association << vivons avec le moulin de Porchères >> souhaite transformer, le moulin en musée vivant lieu de pédagogie. De plus la présence de turbines déjà présente sous le moulin laisse la possibilité de produire de l'électricité.
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Dans mon souvenir papa est toujours présent lors des fêtes de Noël, je ne suis pas sure que cela ait toujours été le cas, car en septembre il partait, avec beaucoup d'autres << war ar sukr >> faire la saison des betteraves sucrières du coté de Pithiviers. En général, il rentrait avant Noël, la malle chargée de quelques sacs en toile remplis d'un sucre de gros cristaux un peu roux, un peu gris mais qui faisait notre bonheur. Quelques cadeaux pour les enfants, aussi je me souviens entre autres d'un stylo a bille, gros comme un stylo a encre, le corps bleu pétrole et le capuchon doré. Je devais avoir 9/10 ans. Quelle sensation à l'école ! un stylo a bille, personne n'en avait jamais vu et il fallu lui laisser faire le tour de la classe. Il n'a pas fait de vieux os, beaucoup trop de filles voulaient me l'emprunter et finalement c'est Marie-Therèse Cras qui en est venu à bout en appuyant sur la bille de toutes ses forces jusqu'à ce qu'elle s'enfonce. Je l'ai quand même gardé trés longtemps dans mes affaires.
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